Anne-Isabelle François

Habiter la ville fantôme. Hantise, ruines et imaginaire

18/02/2019

« Le lieu que nous habitons, l’air que nous respirons suffisent à former le porte-empreinte de toutes nos images et de toute notre mémoire. Ce qu’on appelle un fantôme n’est pas plus que ceci : une image de mémoire qui a trouvé dans l’art – dans l’atmosphère de la maison, dans l’ombre des pièces, dans la saleté des murs, dans la poussière qui retombe – son porte-empreinte le plus efficace. » 

Georges Didi-Huberman, Le Génie du non-lieu

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ISSN  2534-6431