08/02/2020 Dramaturgies de la vitesse : des gestes fugitifs d’Yvette Guilbert aux pantomimes convulsives des Hanlon-Lees Imaginaire de l’accélération dans 1993 mis en scène par Julien Gosselin ‹ Quand une nuit compte cent ans : la vitesse du temps qui passe Haut Dramaturgies de la vitesse : des gestes fugitifs d’Yvette Guilbert aux pantomimes convulsives des Hanlon-Lees ›